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 G. HARRISON • His eyes told me that I know how much he believes and how.

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Juniper Wright

Juniper Wright


Nombre de messages : 10
Age : 33
Song in your head : Ebony Eyes ♦ Bob Welch
Date d'inscription : 01/01/2009

G. HARRISON • His eyes told me that I know how much he believes and how. Empty
MessageSujet: G. HARRISON • His eyes told me that I know how much he believes and how.   G. HARRISON • His eyes told me that I know how much he believes and how. I_icon_minitimeVen 2 Jan - 0:47



(identité libre)
G. HARRISON • His eyes told me that I know how much he believes and how. 887098258
© BROKEN-HEARTED JUBILEE
(vous devriez cliquer là aussi (a))




    Note quant à l'identité : Je vous laisse choisir l'identité du personnage, mais il serait fort apprécié que les appellations soit ou bien originales, ou bien d'un naturel classique qui ne refoule pas le milieu de vie du jeune homme. Pour le patronyme, peu m'importe, tant que ça vous plaît et que ça sonne bien avec son/ses prénom(s). (Exemple: Pour lui je vois bien Liam, Paul, Noel - sans aucun accent -, Nathanaël/Nathaniel, etc... Vraiment, vous avez carte blanche)
    Age : Dix-huit années, néanmoins il fait preuve d'une grande maturité sur tous les plans ce qui amène parfois les gens à le penser plus âgé.
    Statut : Elève en dernière année.
    Caractère :
    reprise des écrits de Juniper.
    « Je dois dire qu'à maintes reprises, je me suis questionnée sur sa nature ; car mille fois il se renie de lui-même, et je me doute bien que son âme impuissante assiste à tant de changements dans un élan effréné. Dès le jour où j'ai croisé son regard, j'ai vu la lutte sans merci qui s'y déroulait, valsant entre une panique dérisoire et un calme inquiétant. Tout cela était extrêmement mystérieux, mais surtout obscur. Et je crois que c'est ce qui fît que toute sa personne me captiva immédiatement ; dès notre première rencontre, il s'avéra être le parfait mélange d'extraverti et d'introverti. Il paraissait à l'aise en tout, confronté à la réussite pour toujours, sans être pour autant de ceux qui restent constamment plongés dans leurs livres, désespérés de ne pas avoir cette certaine popularité qui ferait d'eux des hommes, existants et vivants. Soit, dans la société, il brillait par son savoir, par son aisance, mais son monde était infiniment plus complexe que ça. Dans l'environnement scolaire, on le remarqua vite: il y avait ces hystériques, vulgaire filles maquillées comme des clowns, se plaisant à le qualifier comme une bête figurant sur leur tableau de chasse. Je suis convaincue qu'elles ont toutes pensé qu'ils étaient comme tous les autres : impertinent, vaniteux ce qu'il faut pour vous dégoûtez, et surtout, prévisible. Ahah ! Ç’aurait été tellement plus simple s'il fonctionnait ainsi. Mais alors ? Où aurait été le plaisir et le relief de cet individu ? Et puis, le jour où le monde constitué seulement de superficialité l'attirera, les poules auront des dents - excusez-moi cette expression Ô combien désuète. Et comme je vous le disais, bien que ses répliques pouvaient déclencher des cris de joie, de surprise ou d'admiration, il était aussi cet homme réservé, délicat, sentimental. Discret, je remarquais seulement par l'effusion de passion qui m'envahissait ses œillades, ses mouvements, et le moindre geste de ses mains me faisait frissonner. Et c'est ainsi que nous avons commencé à nous dire je t'aime, par ce qui semble anodin. Peu à peu, en sa présence, j'ai découvert quelqu'un de sincère envers tous, excepté lui. Car quand il était si passionné, à la limite de la fougue, on avait du mal à croire qu'il avait pu être celui qui se faisait désirer, qui chuchotait dans votre oreille pour frôler votre cou et s'en retourner immédiatement. Vint l'indéchiffrable, celui dont on ne prédit aucun acte, et qui pourtant fera toujours les choses qui lui vont si bien. Mais d'un côté, lorsque j'étais auprès de lui, je m'amusais à deviner quand agirait-il, et pourquoi. Devinettes ratées ou justement devinées, le tout bien interprété. Et finalement, tout nous lie l'un à l'autre, et je découvre celui qui me fait comprendre depuis toujours qu'il ne dépend que de moi, lui qui se contente de sa solitude, qu'il a toujours pensé être sa seule et unique amie. Oh, jamais personne ne pourra voir à quel point je suis éprise de lui, tant je l'aime, je l'adore, je le veux, je le désire, je le demande, je l'attends. Tant il me rend comblée pour tous ces riens qui sont maintenant tout. »
    Biographie : L'histoire du jeune homme est laissée totalement libre, même si je préférerais qu'il vienne d'un milieu humble. Voici quelques idées facultatives pour vous aidez:
    - Originaire du Kent, a emménagé plus tard dans le compté du Merseyside.
    - Possède cinq frères et soeurs.
    - Mère décédée de manière précoce, était atteinte d'une maladie qui l'acheva alors que 'nom du scénario' était âgé d'une dizaine d'années.
    - Père ayant vaguement sombré dans l'alcoolisme dans la période suivant immédiatement les faits tragiques ; enfants de la famille confiés à la soeur de leur mère le temps de quelques mois.

    Relation : « Je ne veux pas être la victime ; je lui laisse volontiers le rôle. Comment ? Mon subconscient me dit que nous l'assumons tous les deux. Cela fait trois ans que nous nous connaissons ; que nous nions tout en bloc, que nous voulons cacher ce qui crève les yeux. Je pense que c'est surtout parce que l'on ne sait pas comment ça marche. Comment dire je t'aime ? Et comment le montrer ? Deux bêtes apeurées, voilà tout. Tout le monde nous prend pour de simples amis ; ils ont tort. On le sait, on ne dit rien, mais on le sait. Depuis trois ans, nous tournons en rond, et même si l'on sait ce que l'on veut, on ne sait pas si l'on peut le prendre. Si l'on a le droit de le prendre. Et cette sensation, qui nous rend subitement gêné n'arrange en rien le problème. Il est jaloux, possessif, je le suis également, et mutuellement, nous nous voulons exclusivement l'un pour l'autre. Loin d'être un jeu, je dirais même que nous sommes amoureux. Rendez-vous compte ? Je ne peux pas croire que je dis ça. Et pourtant... Nous n'avons d'yeux que l'un pour l'autre. Et je sens que le scénario du chat et de la souris va peut-être prendre une autre tournure ; en effet, c'est peut-être moi qui idéalise, qui cherche une échappatoire, mais j'ai l'impression que depuis environ deux mois, il est différent et d'une manière qui ne peut m'être que positive - du moins, je dois supposer. Il me perce encore davantage à jour. C'est d'une douleur atroce, eninvrante, et j'adore qu'il me fasse mal ainsi. Je sais que c'est la souffrance qui précède la délivrance. Et je dis cela, vous savez pourtant tous que je supporte si mal de me sentir mal justement. Et je retiens les larmes qui alimentent mes monstres, ceux qui me rappellent que je le veux juste auprès de moi et que quelqu'un, quelque chose m'enchaîne. Tout va changer, et je sais que je n'ai rien à perdre ; nous nous aimons, nous le savons. Reste à le dire, à le montrer. »
    Avatar : Cela va sans doute paraître étrange mais je souhaiterais que l'avatar du personnage soit George Harrison dans ses jeunes années (au temps où il était guitariste des Beatmes). Comme nous voyons tous mal un personnage de dix-huit possédant une moustache, je ne peux que vous conseillez des photos de lui prises entre les années 1962-1967. Si vous avez besoin d'aide pour la recherche d'un avatar ou juste d'une image de bonne qualité illustrant le musicien, n'hésitez pas. I love you Je ne sais pas trop si on peut qualifier ce choix de négociable car je trouve vraiment que George et Pattie forment un très beau couple et qu'il est particulièrement original de prendre une célébrité d'une époque passée (que l'on oublie pas, cependant).


Dernière édition par Juniper Wright le Ven 2 Jan - 18:40, édité 4 fois
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Juniper Wright

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MessageSujet: Re: G. HARRISON • His eyes told me that I know how much he believes and how.   G. HARRISON • His eyes told me that I know how much he believes and how. I_icon_minitimeVen 2 Jan - 18:09

MAJ du 02.01.2009: écriture du scénario terminée.
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