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 There was no feelings. Until now. {R.}

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Layonee J. Fane
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Layonee J. Fane


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MessageSujet: There was no feelings. Until now. {R.}   There was no feelings. Until now. {R.} I_icon_minitimeDim 28 Déc - 20:58


Sujet réservé à William Reavley.


« Bien. Je vous laisse faire vos recherches pour après demain. Je ne vous demande pas vingt pages vides et creuses. Ce que je veux, c’est que vous puissiez me dire avec exactitude, ou du moins aussi précisément que possible, en quoi consiste votre don et l’étendue maximale qu’il peut avoir. D’accord ? »

La cloche libératrice retentit dans toute l’école et ses élèves de première année se précipitèrent hors de la salle pour ne pas être en retard à leur prochain cours. Layonee, elle, rangea toute ses affaires dans son sac et se dirigea vers le Grand Salon, il ne devait y avoir personne, tous les élèves avaient cours et la plupart des autres professeurs allaient plutôt dans la salle des profs. Il n’était que dix heures et la jeune femme avait ainsi deux heure et demi devant elle pour corriger les copies de sa classe de troisième année. Et puis, même en « Maîtrise des Dons Magiques » il y avait des devoirs de temps en temps. Il s’agissait là plus de théorie que d’autres choses mais Layonee savait avec l’expérience que les élèves avaient aussi besoin de bien maîtriser la théorie. Surtout en ce début d’année, alors que ses troisièmes années venaient tout juste d’abandonner leur baguette au profit d’un objet quelconque, du moins pour les non sorciers.
La jeune femme avancé paisiblement dans les couloirs déserts, heureuse de ne pas croiser une certaine personne dont elle ne citerait pas le nom. Depuis trois ans, tout était devenu beaucoup plus compliqué. En effet, ils se croisaient en allant se coucher, à tous les repas, entre les cours, dans la salle des profs, parfois même dans le par cet le petit jeu auquel ils s’adonnaient depuis maintenant neuf ans devenait un peu long. Surtout depuis que Layonee avait dut s’avouer qu’elle éprouvait bien plus que de l’attirance pour William qu’elle soupçonnait de toujours la considérer comme la tigresse qui l’avait rembarré le soir de leur première rencontre. D’un autre côté, il était toujours très amusant de voir ses yeux s’illuminer lorsqu’elle se rapprochait dangereusement de lui pour lui susurrer des choses à l’oreille. Voir son envie dans ses yeux était quelque chose de presque jouissif, chaque fois, Layonee savait qu’elle se rapprochait un peu plus de son but ultime : Le faire craquer. Malheureusement, l’inverse était aussi vrai et lorsque c’était lui qui agissait de cette manière, l’enseignante avait bien du mal à se retenir de l’embrasser fougueusement, l’embarquer dans une salle vide et le déshabiller intégralement. Et le pire dans tout ça, c’était que non seulement il l’attirait, mais en plus, Layonee avait envie de former un véritable couple. Tout en lui lui plaisait, ses mimiques, ses attitudes de pseudo dragueur.

Lorsqu’elle arriva dans le Grand Salon, la jeune femme put constater avec plaisir que la pièce était vide. Elle s’y installa donc tranquillemen,t déposant son sac au pied d’un canapé, et sortant ses copies pour commencer à les lire. Ce ne fut qu’une dizaine de minutes plus tard que la porte s’ouvrit. Terminant d’écrire un commentaire, Layonee releva la tête et constata que William venait d’entrer. Rien que cela voulait dire qu’il y avait de fortes chances pour qu’ils continuent leur petit jeu. Cependant, la jeune femme ne voulut pas le commencer, aussi elle se contenta simplement de répliquer, amusé et faussement exaspéré.
« Et après tu dis que tu ne me suis pas hein ?! C’est quoi cette fois ton excuse ? » Layonee se redressa complètement et mit ses copies de côté, elle risquait fort de ne pas pouvoir les corriger.


Dernière édition par Layonee J. Fane le Mar 30 Déc - 22:04, édité 1 fois
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William Reavley

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MessageSujet: Re: There was no feelings. Until now. {R.}   There was no feelings. Until now. {R.} I_icon_minitimeDim 28 Déc - 22:20

« Je sais qu'à votre âge la magie n'est pas votre préoccupation première et malgré ce que vous pensez , j'étais comme vous avant. C'est le meilleur moment pour maitriser ses dons et même si c'est assez difficile et long un jour votre travail payera. Comme on dit Rome ne s'est pas fait en un jour ... En rentrant je veux que vous réfléchissiez à ça et je veux surtout que vous vous entraîniez ! »

Les élèves commencèrent à rechigner et à ne pas vouloir écouter ce qu'il disait, bien qu'il soit connu pour être un professeur vraiment sexy et sympa il y a un moment où il faut faire preuve d'une certaine autorité et c'était ce moment. La sonnerie se mit à retentir et les élèves se levèrent pour s'en aller quand William eut une idée. S'ils ne veulent pas travailler c'est leur problème ,mais il ne compte pas lâcher le morceau. Il leur dit:

« Avant de partir je veux juste vous dire que lundi je ferais une sorte de test de votre maitrise et ceux qui ne seront pas à la hauteur viendront avec moi en cours de soutient. Par pas à la hauteur je veux bien dire qui n'ont pas travaillés ,car je suis peut-être un adulte ,mais je sais surtout reconnaitre ceux qui travaillent et ceux qui ne le font pas. A lundi et sur ce bon week end ! »

Les élèves se précipitèrent donc vers la sortie afin d'aller à leur prochain cours, William lui rangea ses affaires et se rendit compte qu'il avait oublié de corriger un tas de copie. Il s'apprêta à se rassoir lorsqu'il aperçue dans le couloir la belle Layonee le traverser, sans doute pour se diriger vers le salon. Avant d'y entrer il décida d'aller à son casier poser quelques affaires assez inutiles. Ensuite William alla donc dans le salon rejoindre sans l'avouer sa « tigresse ». Il l'appelait toujours de ce surnom pour se rappeler à quel point elle était dure parfois ,mais surtout pour lui faire comprendre qu'il était aussi imprévisible qu'elle. Rien que de savoir qu'ils seraient dans la même pièce faisait sourire William ,car à chaque fois qu'ils se croisent ils se lancent simplement des pics lorsqu'il y a du moment mais s'ils sont seuls c'est bien plus que ça. La jeune femme s'amuse à se rapprocher de lui pour voir sa réaction et il fait pareil en s'approchant d'elle et faisant mine de l'embrasser sans le faire rien que pour voir Layonne attendre ce moment-là. On peut dire que c'est un jeu des plus puérils mais lorsqu'on regarde plus loin on peut s'apercevoir que ces deux-là éprouvent plus que l'envie de se retrouver dans le lit de l'autre. Evidemment il y a une tension à cause de leur envie de se sauter dessus ,mais au fil du temps des sentiments sont nés même si aucun des deux n'est décidé à se déclarer avant l'autre. Un jeu qui risque de blesser l'autre s'ils ne finissent pas par craquer ... Très rapidement Layonnee leva la tête et l'aperçu, il s'apprêta à lui sortir une de ses phrases légendaires quand elle commença par répliquer une petite phrase qui l'amusa fort bien. Ce qu'elle ne savait pas c'est qu'elle avait raison mais c'était hors de question pour William de l'avouer. Il se contenta de sourire et de la regarder mettre ses copies de côtés quand il s'approcha d'elle. Puis il eut l'idée de lui dire d'un ton charmeur:

« Tu as bien raison de pousser tes copines, on aurait fini par les faire tomber ... » Une phrase pleine de sous-entendus qui semblait amuser la jeune femme, à regarder dans les yeux de William on pouvait remarquer qu'il était déjà très attiré par elle. Le jeu ne faisait que commencer. Il se rapprocha encore d'elle et pris une chaise pour s'asseoir en face d'elle. La regardant dans les yeux il attendait une de ses réponses assassine qui lui confirmeront qu'elle était toujours la même tigresse ...

[HJ: Ce post est ennuyeux 022 ]
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MessageSujet: Re: There was no feelings. Until now. {R.}   There was no feelings. Until now. {R.} I_icon_minitimeLun 29 Déc - 1:44

« Tu as bien raison de pousser tes copies, on aurait fini par les faire tomber ... » Sa voix était toujours aussi charmeuse, quoi que Layonee savait qu’il avait choisi d’utiliser ce ton. La jeune femme savait qu’il était attiré par elle et elle savait que si ce jeu durait trop longtemps, il pouvait y avoir quelques conséquences embarrassantes.

Cependant, Layonee se permit d’arquer un sourcil à cette réplique. Se laissant une demi seconde de réflexion et tout en le fixant droit dans les yeux, la jeune femme s’approcha encore un peu plus de son visage et, un regard quelque peu brûlant, elle lui répondit, moqueuse :
« Ooooh, mais c’est que Monsieur Reavley se prend pour un acrobate à croire pouvoir faire ça sur une si petite table basse … » Layonee se leva doucement, passa juste derrière lui et s’arrêta lorsque sa bouche fut à quelques centimètres de son oreille, pour susurrer : « D’un autre côté, j’ai toujours été fascinée et attirée par les acrobates … » Sur ces quelques mots, la demoiselle se dirigea vers le buffet d’où elle sortit d’abord une tasse, avant de demander le plus naturellement du monde : « Un café ? » Son ton était enjoué et naturel, à croire qu’ils ne venaient pas de faire quelques allusions équivoques. Elle mit donc la cafetière – qui devait déjà avoir quelques années de vol – en route et vint se rassoire à sa place initiale.

Malicieuse, Layonee avait bien envie de tester William, histoire de voir comment il allait réagir face à ses propos. Se calant bien dans le canapé et croisant sensuellement ses jambe – elle ne portait malheureusement pas de jupe ce matin là – la jeune femme demanda d’une voix très légèrement ironique :
« Dites moi professeur .. J’ai entendu dire que vous vous entendiez à merveille avec la jeune Ludmilla Gvozdev … » Layonee ne savait pas vraiment ce qui se passait entre le professeur et son élève, cependant elle savait qu’il y avait quelque chose. Aussi s’était-elle mis en tête de le découvrir, cela lui donnait d’ailleurs l’occasion de voir comment William réagirait. Dans un éclair de génie – ou plutôt parce qu’elle venait tout juste de s’en souvenir – Layonee changea de sujet sans crier gare et passa à un ton plus professoral. « AU FAIT ! Le directeur veut que tout le monde se réunisse mardi prochain pour commencer à organiser le bal de la St Valentin. Tu es au courant ? Parce qu’il n’a pas mis de mot dans la salle des profs, c’est Amadéa qui m’en a parlé ! » Layonee Joann Fane ou l’art de changer de sujet pour éviter de craquer ou se laisser emporter. Finalement, non, elle revint au tout premier sujet de la conversation et annonça malicieusement : « Mais attends ! Tu ne m’as toujours pas donné ton excuse pour m’avoir suivie. Je sais que je suis belle et attirante mais il faudrait que tu apprennes à te passer de moi … » La fin de sa phrase avait été prononcée d’une voix plus grave et volontairement plus sensuelle. Cependant, Layonee n’avait pas bougé de place et se tenait toujours tranquillement dans son canapé, en face de William qui devait de faire mal au fesses sur une simple chaise. En parlant, de cul, le sien était vraiment pas mal …

{Nooon ! Il était très bien !}
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William Reavley

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MessageSujet: Re: There was no feelings. Until now. {R.}   There was no feelings. Until now. {R.} I_icon_minitimeLun 29 Déc - 14:54

Lorsqu'elle commence son petit jeu habituel en voulant le déstabiliser à sa façon William se mit à sourire, pour une fois ce n'était pas ce sourire dragueur afin d'emmener une femme dans son lit mais seulement celui charmeur qu'il a naturellement. Elle le sous estimait beaucoup ,car William était très acrobate parfois et sur une table basse il est clair que cela ne l'aurait pas vraiment gêné.

« Je peux te montrer mes talents si tu y tiens autant que ça ! » Dit-il en arquant un sourcil pour renverser la situation histoire de dire que c'est elle-même qui a commencé ces petites allusions. Sans gêne la demoiselle changea immédiatement de sujet en lui proposant du café, cela le déstabilisait bien cette fois-ci, elle était aussi imprévisible que lui ce qui l'empêchait de l'a comprendre. Mais si elle voulait jouer comme cela William allait faire de même.

« Oui avec plaisir ! » En faisant comme s'il ne venait pas de lui faire une proposition des plus indécentes. A faire William commençait à avoir l'habitude mais c'était toujours aussi amusant de jouer avec elle, même si elle était très dure à cerner parfois il arrivait à savoir lorsqu'elle était touchée ou pas. A son retour William pris la tasse à café qu'elle lui tendit et commença à la boire, rien que quelques gouttes tout en dévisageant Layonee du regard. Mais elle avait déjà prévu de le déstabiliser, c'est qu'elle était plus maligne qu'elle en avait l'air. Lorsqu'elle lui parla de sa jeune étudiante William paru assez crispé comme si elle venait de tomber dans le mil, naturellement il ne se passait absolument rien entre ces deux-là. Ce n'était que des rapports élève-professeur ,mais en ce moment la belle blonde commençait à se rapprochement dangereusement de son professeur. William avait peut-être une certaine réputation ,mais coucher avec une élève ne faisait pas parti de ce qu'il voulait et faisait, il savait que c'était interdit et même si elle continue à lui faire de plus en plus de rentre dedans William sait comment taire ses avances. Bien sûr qu'elle est très jolie, plus jeune que lui et sûrement son type de femme. Un peu dans le genre de Layonee en blonde, avec un sacré caractère et de la détermination ,mais au moins elle sait ce qu'elle veut ,pas comme une certaine brune ... William se reprit et lui répondit sur un ton naturel:

« C'est simplement une de mes élèves, brillante et sympathique. Elle me rappelle toi plus jeune en plus gentille et douce ... Si tu veux insinuer quelque chose tu peux le faire je n'ai rien à cacher ! » Puis il décida d'énerver un peu Layonee histoire de lui faire comprendre qu'elle n'était pas assez directe et surtout qu'elle ne savait pas ce qu'elle voulait. Déjà il lui avait montré qu'elle n'était pas vraiment gentille avec lui ,mais il voulait lui faire comprendre autre chose « Au fait, en plus d'être une élève prometteuse elle au moins sait ce qu'elle veut ! » Avec cette phrase William semblait vouloir clore le sujet définitivement, son but n'était pas de se disputer avec Layonee ni de la blesser, il voulait simplement lui montrer que son petit jeu allait peut-être prendre fin. C'est vrai qu'il dure depuis presque 10 ans une éternité et William est peut-être patient ,mais sa patience à comme tous des limites. D'un coup lorsque celle-ci changea de ton et de sujet sans cri et gare cela confirmait exactement ce qu'il pensait d'elle. Mais en même temps c'Est-ce qu'il aimait bien en elle-même si ce n'est pas du tout son genre de l'avouer. Layonne lui parla du bal et surtout de la réunion qui devait se préparer mais rien qu'au mot bal William eu une idée qui allait déplaire Layonee. Une façon de peut-être avancé les choses ou les faire stagner il ne savait pas trop, il avait eu l'envie d'y aller avec elle. Il ne savait pas vraiment comment ça allait se passer ... Bien sûr ils seront chaperons ,mais pourquoi ne pas joindre l'utile à l'agréable, William n'était pas sûr de ce qu'il allait faire ,mais il pris son courage et lui avoua: « Humm le fameux bal ... Je ... Je ... me demandais si tu y allais avec quelqu'un ? » Même si William était un tombeur né quand il s'agissait d'inviter subtilement une femme qui l'intéresse et plus par les sentiments que par le physique c'était plus compliqué. William ne pu s'empêcher de baisser les yeux et de changer rapidement de sujet se demandant si elle allait lui répondre. « Mardi la réunion , non je n'étais pas au courant ... »

William se reprit et redevint normal, c’était affolant de voir la façon dont il se comportait lorsqu’il s’agissait de ce qu’il éprouvait réellement, lui ne s’était même pas avoué éprouver des sentiments pour Layonee alors lui avouer c’est un grand pas et il n’était pas encore prêt pour cela. Lorsqu’elle lui parla du premier sujet il ne pu s’empêcher de remarquer avec quel ton elle finissait sa phrase et se mit à sourire de son sourire charmeur. Et de lui répondre: « Tu as raison je suis irrésistiblement attiré par toi c’est sûrement ton incroyable modestie qui me trouble … » Dit-il sur un ton ironique pour lui faire comprendre que ce n’était pas le cas en la regardant intensément histoire de la déstabiliser à son tour. William commençait à avoir mal à ses adorables fesses alors il se leva et s’assit à côté de Layonee qui de près était beaucoup plus sexy …
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Layonee J. Fane
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MessageSujet: Re: There was no feelings. Until now. {R.}   There was no feelings. Until now. {R.} I_icon_minitimeLun 29 Déc - 18:08

« Je peux te montrer mes talents si tu y tiens autant que ça ! » Cette réponse, si elle ne décontenança pas Layonne l’étonna. Elle était à mille lieues de celle à laquelle la jeune femme s’attendait. L’enseignante tenta de ne rien laisser paraître et répliqua, sur un ton angélique, alors qu’elle faisait le café : « Moi ? Mais je n’ai rien demandé ! » Layonee agrémenta alors sa réplique d’un sourire malicieux et commença à préparer le café. William lui annonça qu’il voulait effectivement un café, aussi répondit-elle, toujours aussi naturelle : « Ok. J’en fais pour deux alors ! » Elle revint ensuite avec les deux tasses, en servit une à William et s’assit de nouveau dans le canapé pendant qu’il la dévisageait sans se douter qu’elle allait bel et bien le déstabiliser comme il de devait. En effet, il était toujours beaucoup plus amusant pour elle d’avoir le dessus, ainsi c’était elle qui maîtrisait la situation et c’était William qui devait se retenir de craquer. Cependant, ce n’était pas le but ici puisque Layonee voulait plutôt tester sa réaction face aux rumeurs de couloirs. Lorsqu’elle lâcha sa bombe et qu’elle constata que le visage de William s’était crispé, on put brièvement apercevoir un sourire satisfait sur son visage fin.
Elle attendit alors patiemment qu’il lui concocte une réponse digne de lui. Même si elle subodorait qu’il ne se laisserait pas embobiner par une élève, Layonee ne pouvait pas prévoir à l’avance les agissements de cette Ludmilla ainsi que ceux de William. La prudence était donc de mise. D’autant plus qu’elle n’avait aucune envie de voir un sourire satisfait sur le visage de cette gamine qui serait très probablement heureuse de coucher avec un de ses professeurs. Quant à William, s’il se laissait faire, il était certain qu’elle n’éprouverait plus autant d’estime pour lui et que cela la blesserait profondément, même si la demoiselle n’était pas encline à l’avouer à qui que ce soit, à part peut-être à Amadéa et Rose à qui elle disait tout, ou presque.

La réponse de William lui fit l’effet d’une douche froide. Ainsi il insinuait que Layonne était bien moins gentille et douce que cette jeune femme ? Et en plus, il terminait avec une réplique assassine que Layonee savait très bien négative à son égard même si elle ne savait pas vraiment pourquoi elle l’était. Blessée dans le peu d’orgueil qu’elle avait – et ce n’était pas peu dire dans la mesure où Layonee n’avait presque pas d’orgueil – la jeune femme décida de plus ou moins contre-attaquer.
« Ooooh mais je ne voulais rien insinuer tu fais ce que tu veux, avec qui tu veux et où tu veux. Je m’en contre fiche royalement ! » * Oui, enfin si tu pouvais éviter de coucher avec n’importe qui, voir même coucher avec quelqu’un, ça m’arrangerais parce que j’ai aucune envie de te voir parader et de t’imaginer avec une fille dans ton lit. * « Elle sait ce qu’elle veut ? Grand bien lui fasse ! Mais si ce n’est qu’une élève, comment peut-être savoir qu’elle sait ce qu’elle veut, hein ? Et je te signale quand même que nous n’avons jamais véritablement discuté, alors quant à savoir si je sais ce que je veux ou non, je pense que tu es plutôt mal placé ! » Sa voix s’était faite plus dure, énervée et on pouvait presque sentir qu’elle refoulait quelques larmes. Elle se leva donc, et tourna le dos à William durant quelques secondes, faisant les cent pas avant de se rassoire, plus sereine. Jamais elle n’avait pensé dire quelque chose de tel et son intention première n’était pas de presque lui avouer que le fait de ne jamais vraiment discuter lorsqu’ils étaient ensemble avait toujours fait défaut dans leur relation et à plus forte raison depuis environ cinq ans. La meilleure solution était de changer de sujet, de faire comme si cet éclat de voix n’avait jamais eut lieu et le bal de la St valentin était un excellent prétexte, d’autant plus que peu de professeurs étaient au courant de la réunion qui devait avoir lieu le mardi suivant. Là encore, il la surprit largement et Layonee ne put masquer des yeux ronds et franchement étonnés car il était évident qu’il voulait l’inviter à ce bal. Jamais William ne lui aurait posé une telle question en bégayant à moitié si c’était pour autre chose. D’un autre côté, il s’agissait peut-être d’un plan tordu et machiavélique pour profiter de cette soirée afin de la faire craquer. Non, non, il n’y avait aucune raison pour que ce soit ça, ce n’était qu’un simple petit jeu et jamais William n’aurait l’idée de profiter de ses sentiments pour … Oui, mais il ne connaissait justement pas ses sentiments, alors comment pouvait-il se douter que cela lui ferait extrêmement plaisir d’y aller avec lui ? Et si lui aussi éprouvait des sentiments à son égard ? Non, c’était prendre ses rêves pour des réalités et il était impossible que ce soit le cas, il se serait déjà manifesté dans le cas contraire, non ?
Mais William changea aussitôt de sujet et Layonee songea que peut-être il voulait vraiment y aller avec elle. Toujours étonnée, la jeune femme ne put s’empêcher de demander :


« Ben … c’est à dire que théoriquement non .. Enfin, il y a les autres puisqu’on doit chaperonner la fête mais sinon, à proprement parler non. Pourquoi tu voulais m’y inviter ? » S’il regardait attentivement dans ses yeux, il aurait put y déceler une petite flamme de plaisir. Cependant, histoire de ne pas totalement perdre la face, Layonee ajouta, malicieusement : « A moins que ce ne soit un plan machiavélique pour arriver à tes fins les plus secrètes … » La jeune femme se laissa alors aller à un éclat de rire sincère et détendu avant de redevenir sérieuse lorsque l’ironie de William pointa le bout de son nez et qu’il vint s’assoire à côté d’elle.

« Je sais .. On me dit souvent ce genre de choses, ma modestie est une qualité que beaucoup d’hommes apprécient chez moi … » Layonee adressa alors un sourire angélique et amusé à William. On aurait même pu croire qu’elle allait lui tirer la langue mais elle se retint, elle avait quand même 26 ans …

{Désolée, je n’arrivais pas à m’arrêter d’écrire .. xD}
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MessageSujet: Re: There was no feelings. Until now. {R.}   There was no feelings. Until now. {R.} I_icon_minitimeLun 29 Déc - 18:51

« Tu as raison nous n'avons jamais réellement eu de discutions pour la simple et bonne raison que pour toi être honnête et montrer ce que tu ressens te fais trop peur, tu crains de ne plus avoir le contrôle de ta vie comme si être simplement toi-même était un défaut » Dit-il sur un ton beaucoup plus qu'énervé, il ne savait pas ce qui animait cette colère ,mais elle avait un rapport avec elle. William aimerait tellement que pour une fois elle ne joue pas un rôle, qu'elle soit honnête et qu'elle lui dise ce qu'elle pense sans faire semblant. Leur jeu l'amuse beaucoup ,mais à force il ne sait même plus ce qui se passe. Il s'était laissé emporter par elle et ses sentiments, cela pouvait se faire qu'il n'était pas indifférent avec Layonee c'est pour ça qu'il se reprit rapidement histoire de ne pas se faire avoir une fois de plus par la brunette.

« Si tu t'en fichais autant que ça pourquoi me l'as-tu demandé ? » Lui répondit-il sur un ton interrogateur, il n'avait pas tort si elle s'en fichait autant que ça pourquoi lui demander tout ça. Ce n'était pas simplement pour répondre aux rumeurs et savoir la vérité ,mais peut-être simplement pour savoir si l'homme qu'elle convoitait en secret couchait avec d'autres. Cela blessait William qu'elle pense qu'il puisse coucher avec une élève, bien qu'elle soit fortement séduisante et à son goût William a des principes que jamais il ne remettra en cause. William a été très bien élevé dans une famille où les règles sont en vigueur et sans aucune exception. Bien sûr si Lud' n'avait pas été une élève peut être aurait-il couché avec elle ,mais ce n'est pas le cas. Quand il dit qu'elle sait ce qu'elle veut il a raison, elle veut simplement une histoire d'un soir avec William histoire de faire enrager un autre homme et William le sait parfaitement. D'ailleurs à voir comment Layonee réagissait elle semblait jalouse ce qui fit sourire celui-ci. William ne pu s'empêcher de lui dire: « Serais-tu jalouse d'une élève ? » Puis il fut temps de changer de sujet pour ne pas se disputer avec elle. Layonee était assez têtu et n'allait pas comme ça se laisser faire et surtout le laisser dire la vérité. Qu'elle ne se laisse pas faire plaisait fortement à William tandis que son éternel façon et ne jamais être réellement sérieuse commençait à lui déplaire. Il n'avait même pas remarqué qu'elle avait presque la larme à l'oeil, il voulait tout sauf lui faire de mal. Encore une fois Layonee interprétait mal ce que William voulait lui dire, l'inviter au bal serait beaucoup trop simple non encore faudrait-il qu'elle comprenne ce qu'il ressent. Elle semblait une fois de plus croire qu'il n'était pas sérieux et s'il voulait qu'elle se mette à le prend ainsi il devait se reprendre et agir plus sérieusement. William se demandait si elle ressentait le même désir que lui à son égard et l'envie d'aller à ce bal en sa compagnie ,mais aussi les sentiments profonds. Des sentiments dont il a du mal à assumer la nature, William a toujours eu du mal à parler de ses sentiments surtout avec Layonee qui ne pense jamais sérieuse, si elle n'était pas aussi joueuse et maligne sans doute il lui aurait depuis un moment dit ce qu'il ressentait réellement.

« Tu me penses à ce point-là manipulateur ? » Dit-il en la questionnant, il se demandait si elle voulait simplement changer de sujet pour ne pas à avoir à lui dire que c'était négatif ou simplement par peur qu'il se fiche d'elle. William n'aurait pas la méchanceté de jouer avec ses sentiments. Bien qu'il joue souvent avec elle quand il s'agit de ce genre de choses William ne plaisante pas au contraire. Puis ensuite William se lança à quoi bon tourner autour de la chose, si elle ne voulait pas elle lui dirait simplement non ils sont adultes après tout. Pour que cette fois-ci elle le prenne au sérieux il la regarda dans les yeux sérieusement et lui dit d'une voix charmeuse: « Si tu veux savoir, cela ne me gênerait pas d'y aller avec toi. Même pas du tout ,mais tu vas sans doute croire que je suis encore en train de mentir ... » William avait faillit baisser les yeux pour souffler un instant et se dire qu'il n'avait pas osé lui demander ceci. Il lui avait dit implicitement qu'il voulait aller à ce bal avec elle. Ensuite la jolie brune changea de sujet et lui parla de sa modestie. Il ne pu s'empêcher de lui sourire et de répondre: « Je ne pense pas que la plupart des hommes s'intéressent vraiment à ce qu'il y a l'intérieur de toi. D'ailleurs ce n'est pas mon cas ! » William était sérieux, il ne disait pas ça pour l'attendrir ni pour faire avancer les choses il était simplement honnête. Pourquoi ne pas simplement avoir une discussion sérieuse, William n'était pas simplement charmé par sa beauté ,mais aussi par son caractère assez complexe. Il avait presque envie de rire à la tête que faisait Layonee ,mais il se retint.
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Layonee J. Fane
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MessageSujet: Re: There was no feelings. Until now. {R.}   There was no feelings. Until now. {R.} I_icon_minitimeLun 29 Déc - 19:53

« Tu as raison nous n'avons jamais réellement eu de discutions pour la simple et bonne raison que pour toi être honnête et montrer ce que tu ressens te fais trop peur, tu crains de ne plus avoir le contrôle de ta vie comme si être simplement toi-même était un défaut » Nouvelle douche froide. Gelée même et encore, ces mots étaient trop faibles pour exprimer le mal que ces simples paroles lui faisaient. C’était pire qu’un javelot lancé à pleine vitesse, pire que mile coups de fouet sur son dos meurtri et ensanglanté, pire que dix coups de feu tirés à bouts portant, pire même, que de mourir étouffé, ou lors du crash d’un avion lorsque l’on sait que notre vie est terminée, avant même que l’oiseau de fer ne touche le sol. Layonee était prête à pleurer, comment pouvait-il dire ça ? Comment pouvait-il se tromper à ce point ? Elle ne lui avait jamais menti et la franchise était l’une de ses principales qualités. Mais comment dire à un homme qu’on l’aime lorsque ce dernier ne vous laisse de lui que l’image de quelqu’un qui vous veut juste dan son lit, pour une nuit, pour accrocher un nouveau nom à son tableau de chasse ? Il était énervé, cela se sentait et Layonee devait avouer qu’il pouvait l’être mais il n’avait en aucun cas le droit de lui dire ça, d’être si loin et si prêt de la vérité en une seule phrase. Elle se leva, sortie peut-être définitivement de ses gonds. « Ah oui ? Parce que pour toi, je n’ai jamais fait que mentir et te faire croire des choses ? Être moi n’a jamais été un défaut ! Mais aimer un homme qui dit ne te considérer que comme une fille à mettre dans son lit alors ça oui, c’en est un ! » N’y tenant plus, elle fit les cents pas pour se calmer, il n’était pas question de hurler ou de lui sauter dessus pour soit le tuer, soit le violer sur place.

Finalement, il choisis la fuite et changea de sujet. Peut-être pour ne pas envenimer les choses et Layonee lui en fut grée quoi que cela ne l’empêcha pas de continuer à déambuler derrière le canapé, alors que lui y était toujours assis. William lui demanda alors pourquoi venait-elle de lui demander des explications quant à cette Ludmilla si elle s’en fichait. Prête à répondre froidement, elle ne le put pas car l’enseignant ajouta qu’elle était peut-être jalouse de cette élève. Si elle avait été un peu excédée par sa première question, celle-ci fut la goutte qui fit déborder le vase. Rugissante, elle s’exclama :
« QUOI ?! MOI ?! Jalouse de cette minette blonde en jupe trop courte ? Mais c’est mal me connaître mon p’tit vieux ! C’est juste que j’aurais été énormément déçue si j’avais appris que tu la sautais, j’te signale que j’ai quand même de l’estime pour ta p’tite gueule de Casanova à deux balles ! » Si elle voulait lui prouver qu’elle n’était pas jalouse, c’était fichu, bien que la jeune femme ne s’en soit guère rendu compte elle avait agit exactement comme l’aurait fait une fille jalouse en insultant quasiment la pauvre Ludmilla qui, quelque part, n’avait pas encore fait quoi que ce soit de mal.

Layonee était toujours debout à faire les cents pas, tenter de se calmer pour ne pas commettre l’irréparable, et il y en avait deux : Lui avouer qu’elle l’aimait – parce qu’elle ne savais si c’était réciproque et le lui dire comme ça, sans en être sûre était la porte ouverte aux moqueries de mauvais goûts – ou le blesser gravement en s’énervant trop et en lassant son pouvoir s’exprimer sans qu’elle ne le veuille et le blesser aussi bien physiquement que moralement était la dernière chose qu’elle souhaitait. Elle s’était ensuite libérée du sérieux de la demande de William et de ses doutes en menant un bout de la conversation en dérision. C’était toujours comme ça, chaque fois qu’elle était mal à l’aise, qu’elle doutait de son interlocuteur ou d’elle même, Layonee se tournait ou tournait la conversation en dérision, c’était son moyen d’autodéfense et peu de personnes le comprenaient. Si elle le croyait aussi manipulateur ? Oui, Layonee pensait que William n’avait pour but que de la mettre dans son lit et qu’il était près à l’inviter au bal uniquement pour la séduire plus facilement. Oui, selon elle c’était une éventualité, et la jeune femme n’avait aucune envie de se laisser embobiner pour se retrouver toute seule à pleurer et voir Rose et Amadéa la ramasser à la petite cuillère fut-elle en or ou en platine. A bout nerveusement et psychologiquement, Layonee se laissa retomber dans le canapé, la tête entre ses mains, pour souffler, dépitée :
« Je ne sais pas. Je … Je ne sais plus … Ca fait neuf ans que ça dure tout ça et je crois que je viens d’arriver à un stade où je ne peux plus le supporter … » Les larmes menaçaient de dévaler le long de ses joues rosies par la colère, ses yeux étaient presque suppliants lorsqu’elle ajouta : « Tu comprends William ? Je n’en peux plus … C’est pas possible de continuer à jouer comme on jouait à 17 ans. On en a 26 maintenant j’te signale ! » Elle redressa alors la tête, afin de mieux voir la réaction de l’homme qui lui faisait face. Elle n’avait ni envie de se battre encore avec lui, ni de pleurer devant lui, elle ne pouvait décemment pas lui donner le plaisir de la voir en larme, juste parce qu’elle l’aimait.

Il redevint sérieux l’espace d’un instant et lui confirma que cela lui ferait plaisir d’aller au bal avec elle. Il ne semblait pas mentir et Layonee pensa que peut-être tout cela allait se terminer et qu’elle n’aurait plus à jouer.
« Si tu penses véritablement ce que tu viens de me dire, alors oui, je veux bien qu’on y aille ensemble, même si je ne sais pas si nous aurons le temps de vraiment nous amuser … » En effet, même s’il n’y avait jamais eut de problèmes, il fallait toujours que l’équipe professorale soit très attentive aux potentiels débordement juvéniles.
Sa dernière réplique la fit sourire, bien qu’elle ne répondit pas. La jeune femme ne voyait pas tellement ce qu’elle pouvait ajouter. Il semblait vouloir la connaître mieux, qu’à cela ne tienne, il pouvait toujours lui poser des questions.
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MessageSujet: Re: There was no feelings. Until now. {R.}   There was no feelings. Until now. {R.} I_icon_minitimeLun 29 Déc - 21:23

La douche froide qui lui avait donné allait sûrement l'énerver à un point qu'il ne pouvait l'imaginer seulement il n'en pouvait plus de ne pas savoir ce qu'elle ressentait vraiment. William n'avait pas dans l'idée de lui faire du mal où même quoi que ce soit ,mais il voulait qu'elle prenne conscience qu'il n'était pas si bête qu'il en a l'air, qu'elle peut faire comme si elle était indifférente à tout alors que ce n'est pas le cas. La demoiselle a seulement peur de perdre le contrôle de sa vie et que les choses changent et il en a plus que marre, même si William avait tendance à faire la même chose lui au moins sait lorsqu'il est temps d'être honnête. D'un coup il se mit à regarder Layonee et compris en voyant son regard qu'il venait de lui faire du mal et c'est tout ce qu'il ne voulait faire. Il voulait seulement qu'elle est confiance en lui. Même s'il n'était pas non plus un exemple à suivre. Lorsqu'elle lui répondit William se sentis assez mal à l'aise, elle venait de lui avouer qu'elle était amoureuse de lui et surtout qu'il ne voulait que la mettre dans son lit, il ne trouva qu'à lui dire : « Layonee, euh ... Je ... Je » William n'arrivait pas à trouver ses mots, ce qui était assez étrange c'est que durant des années il aurait tant aimé qu'elle lui dise ça ,mais là quelque chose n'allait pas. Quelque chose ... clochait. Mais oui c'était la réponse à tout Layonee n'était pas sérieuse elle voulait juste déstabiliser William pour qu'il lui avoue ses sentiments ;mais en réalité elle n'éprouvait rien du tout pour lui ce n'était qu'un jeu. William se sentis blessé et mal à l'aise. Il lui lança un regard des plus froids qu'elle n'est jamais reçue et il lui répondit: « Je suis le roi des idiots c'est ça ? Tu penses que j'ai gober ton histoire et croire que tu éprouves quelque chose à mon égard, après tout ce qui s'est passé tu joues encore avec moi. Tu cherches quoi ? Tu veux que je m'ouvre à toi pour ensuite retourner mes paroles ... Tu es et resteras la Tigresse ! J'ai été stupide de croire une seconde que tu étais honnête ! »

William était vraiment énervé et se recula au bout du canapé pour s'éloigner d'elle. Il n'arrivait pas à croire qu'elle veuille à ce point le déstabiliser, oui dans ses jeux elle fait toujours tout pour dire des choses et voir sa réaction mais heureusement William a compris son petit jeu avant de se montrer ridicule. Vous imaginez si il lui avait révélé ses sentiments quels honte serait venue frapper chez lui ? William était soulagé qu'elle fasse les cents pas pour ne pas croiser son regard, car être aussi désagréable avec elle montrait qu'il était déçu ,car il l'aimait aussi. Durant une seconde il cru enfin à un avenir avec elle ,mais bien vite sa déception apparu. Ensuite la conversation sur une élève reprit et elle semblait encore plus furieuse qu'auparavant. Ce qui était étrange c'est qu'en essayant de lui démontrer qu'elle s'en fichait de lui et de son élève sa colère montrait tout le contraire. Sans le vouloir William se mit à sourire ,car sa façon de s'énerver l'amusait beaucoup. Bizarrement il trouvait ça très sexy, un de ses fantasmes était l'embrassé pour la première fois quand elle serait énervée et sauvagement ,mais ce n'était qu'une idée. Bien entendu il n'allait pas le faire bien qu'elle aurait sans doute aimer. William lui répondit: « Tu sais tu deviens vraiment très sexy quand tu t'énerves ... Tigresse » Il savait très bien qu'elle allait encore plus s'énerver car lorsqu'il l'appelait comme ça elle s'énervait. Mais lorsqu'il disait d'elle qu'elle était sexy William était vraiment sérieux. Le beau William était certes un Don Juan ,mais il ne couchait avec les petites écolières il préférait les femmes mûres comme par exemple Layonee. Pour le moment elle ne devait pas vraiment être d'humeur vu la façon dont tourne les choses, William ne se doutait même pas qu'elle était sérieuse et qu'elle était réellement amoureuse de lui. Mais il n'arrivait pas à cacher sa déception, qu'elle essaye de se ficher de lui de la sorte le blessait énormément. Layonee qui ne voulait pas lui faire de mal venait de faire le contraire, comment pouvait-il croire qu'elle était sincère? Ils n'avaient jamais réellement discuter de leurs sentiments où simplement discuter, ils passaient leur temps à se chercher. Peut être qu'il y était lui aussi aller un peu fort avec cette histoire ,mais il ne pouvait plus revenir en arrière. Leur histoire dure déjà depuis tellement d'années que tout changer peut leur faire peur. William ne voulait pas simplement la mettre dans son lit il voulait bien plus que ça ,mais était beaucoup trop têtu pour l'admettre. Dire enfin tout haut ce qu'il espère depuis si longtemps tout bas est une étape assez importante dans sa vie surtout lui qui a une réputation contraire à ce qu'il est réellement. Se créer un rôle comme il l'a fait l'aide à vaincre ses vieux démons où même sa timidité. Qui serait qu'il l'est ? Personne et c'est mieux comme ça.

William n'en pouvait plus de cette situation et elle semblait penser pareil, lui mettre tout sur le dos alors il se leva et la regarda dans les yeux ne sachant quoi dire il souffla puis elle se remit dans le canapé. Et il lui dit en s'énervant: « C'est bien joli de dire tout ça mais c'est toi qui a instauré ce jeu depuis les années, tu veux que je sache comment si tu étais sincère avec moi où si tu te fiches de moi ... » Puis ensuite il vit qu'elle en avait les larmes aux yeux alors il se rassit tranquillement la regarda dans les yeux et lui demanda: « Bon sang Layonee qu'Est-ce que tu veux ? Tu attends quoi de moi ? » William ne savait plus quoi lui dire pour se sortir de tout ça. Il en avait marre de se disputer avec elle, parfois il a envie de s'en aller et claquer la porte pour souffler. William n'allait pas partir comme ça sans régler les choses ,mais rien n'allait sortir de positif de tout ça.

A ce moment-là il était vraiment sérieux, il avait envie d'y aller avec elle. Peut être que leur jeu allait prendre fin ? Layonee et William allaient sans doute enfin se montrer adulte ou tout gâcher en tout cas la réponse de Layonee lui fit vraiment plaisir. « Oui cette fois je suis sérieux alors on ira tous les deux ! » Dit-il d'une voix charmante accompagné d'un sourire de tombeur. Pour cacher le fait qu'il était vraiment heureux d'aller à ce bal avec elle.
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MessageSujet: Re: There was no feelings. Until now. {R.}   There was no feelings. Until now. {R.} I_icon_minitimeMar 30 Déc - 1:41

« Layonee, euh ... Je ... Je » Il ne savait que répondre à sa révélation. Oui, elle avait avouer à demi mots qu’elle l’aimait sans même s’en rendre compte. C’était véridique, et cela était le cas depuis près de cinq ans. Cinq longues années durant lesquelles elle n’avait eut qu’une envie : Tout lui dire et cesser ce jeu juvénile qui lui faisait si mal. Après-tout, il avait peut-être eut raison de dire qu’elle n’avait jamais fait que jouer un rôle avec lui, seulement comment pouvait-elle ne serrait-ce qu’envisager tout lui dire ? Lorsque ses véritables sentiments s’étaient déclarés, ce petit jeu était déjà bien trop avancé pour qu’elle ne puisse dire quoi que ce soit. Alors elle avait continué à jouer, après tout, c’était un moyen comme un autre d’être avec lui même si elle ne pouvait ni lui parler, lui dire des mots tendres, le toucher, l’embrasser, sortir même, comme le font les couples normaux. Mais arrêter subitement de jouer aurait éveillé ses soupçons, voire même sa colère ou son incompréhension et c’était l’une des choses que Layonee avait toujours voulu éviter : Le perdre, pour toujours. Alors, même si cette relation ne lui apportait pas tout ce dont elle avait besoin – parce que recevoir un peu de son amour était quelque chose dont elle avait besoin – au moins, elle le voyait, pouvait imaginer ses fantasmes et lui donner envie de la toucher, de l’attirer à elle violemment alors qu’il ne pouvait pas le faire. Combien de fois était-elle rentrée chez elle en regrettant qu’il n’ai pas craqué, pour lui offrir, si ce n’était quelques miettes d’amour, au moins un peu de désir partagé. Combien de fois s’était-elle réveillée le lendemain matin en souhaitant qu’il soit à côté d’elle, ou qu’au contraire, ils n’aient rien fait parce qu’elle savait que la suite lui ferait énormément de mal ? Mais le pire était encore à venir. Lorsqu’il lui lança ce regard si froid, si dur et lui adressa ces paroles assassines, Layonee crut mourir, pendant un instant, elle eut l’impression que son cœur avait cessé de battre. Mais n’aurait-ce pas été la meilleure solution ? Ne pas être aussi humiliée, jetée dans la boue presque, par un homme qui ne croyait pas à la sincérité de ses sentiments. Peut-être même qu’il avait tout manigancé, qu’il savait qu’elle éprouvait des sentiments pour lui et que, dans une sorte de châtiment sadique, il avait décidé de la mener à bout, de la laisser tout lui avouer pour ensuite lui faire croire qu’il ne la croyait pas, alors que lui même n’éprouvait rien à son égard. Elle était tout juste un jouet de son désir dont il avait marre et qui ne l’amusait plus. Mais comment avait-elle pu être assez idiote pour croire un instant qu’il pouvait éprouver quoi que ce soit pour elle. En plus de se sentir humiliée, Layonee était blessée, il semblait jouer avec ses sentiments comme avec un yoyo et ça lui était de plus en plus insupportable. Alors, la seule issue était de cacher son désespoir derrière une barrière de colère, presque de haine qui comme on le dit si bien, n’était séparée de l’amour que par un pas.

« Parce que … Parce que pour toi tout ça c’est du vent c’est ça ? Tu crois franchement que je me serais amusée avec les sentiments de quelqu’un d’autre ? Toi par contre oui .. Et ça doit bien te faire jouir là ! Je suis sûre que tu as tout manigancé, pour me faire dire ça et m’humilier en me disant que ce n’était que du vent ! Tu n’es vraiment qu’un beau salop ! » Layonee était à bout de nerf, au bout du rouleau, au bout de tout et tout ce qu’elle souhaitait à cet instant c’était de se réveiller dans lit, en se disant que tout ça n’était qu’un stupide mauvais rêve. Mais ce n’était pas le cas et elle était mal, bien trop mal pour rester en place et lui montrer qu’elle souffrait. Non, ça lui aurait fait bien trop plaisir qu’elle pleure, qu’elle soit à sa merci et à ses pieds alors que lui n’aspirait à rien qui puisse la consoler. A ce stade, la jeune femme n’était même plus sûre qu’il n’ai jamais été attiré par elle mais aller jusqu’à cette extrémité aurait été vraiment tordu. Et s’il n’avait jamais rien manigancé ? Et si William lui disait la simple vérité ? Elle tenta un instant de chercher ses yeux, mais il l’évitait et se dire qu’elle croiserait peut-être un regard satisfait et machiavélique la mortifiait encore plus.

Vint ensuite le sujet « Ludmilla » et là encore, Layonee jugea que William avait largement dépassé les bornes en se permettant de l’appeler « Tigresse » alors qu’elle ne supportait pas ça et qu’il venait de lui dire des choses affreuses. Ce coup-ci, la jeune femme était véritablement en colère, ce n’était pas qu’une carapace lui permettant de cacher sa peine.
« Tu n’a plus aucun droit de me nommer de la sorte ! Je ne suis pas un jouet ! Je ne suis pas là pour faire monter la libido de monsieur en me laissant écraser par un homme qui ne cesse ne me mentir et de me manipuler ! Ne m’appelle plus jamais comme ça tu entends ?! PLUS JAMAIS ! »Sa colère était telle que de petites flammes prirent naissance dans sa paume gauche. Lorsqu’elle sentit la chaleur, Layonee tente de se calmer et referma sa main pour les faire disparaître, après quelques secondes, elle avait des mains tout à fait normales. Elle ne regardait plus William, de peur de voir des choses qu’elle ne souhaitait pas voir dans ses yeux. Ce fut une grave erreur car si elle l’avait regardé, elle aurait vu sa déception et aurait ainsi su qu’il ne mentait pas, qu’il croyait vraiment qu’elle jouait avec lui alors que ce n’était pas le cas et peut-être que là, tout aurait pu rentrer dans l’ordre. Alors, elle revint dans le canapé, dépitée, ne sachant plus ce qu’il fallait qu’elle croit ou non. La tête dans les mains, les larmes au bord de ses yeux rougis, elle l’écouta le plus calmement possible, ses mains tremblait à cause de ses pauvres nerfs malmenés depuis si longtemps.

Comment pouvait-il savoir si elle était sincère ou si elle se fichait de lui ? William était-il véritablement débile ou le faisait-il exprès ?
« Lorsque tu me vois prête à pleurer tu en déduis quoi ? Que je me fiche de toi et que je jubile intérieurement ?!! » Tout redevint plus calme lorsqu’il vint se rassoire à ses côtés, le fait qu’ils ne s’attaquent plus la rasséréna instantanément, même si elle n’était pas prête à se laisser faire encore une fois, il l’avait suffisamment humiliée jusqu’à présent. Il la regarda dans les yeux pour la premières fois depuis de longues minutes et lui demanda ce qu’elle attendait de lui. Ce qu’elle attendait de lui ? Qu’il arrête de se cacher et lui dise enfin ce qu’il ressentait vraiment. S’il aimait – et Layonee avait bien du mal à envisager cette éventualité – leurs problèmes seraient réglés à condition qu’il le dise. S’il n’était qu’attiré par elle, c’était simple : Elle arrêterait de malmener son cœur et ainsi, ne jouerai plus. Si elle n’était qu’une jouet pour luis, c’était encore plus simple, elle le ferait souffrir. Après une longue inspiration, la jeune femme continua de fixer William et se décida à répondre : « Ce que j’attends de toi ? Que l’on arrête tout ça, je n’en peux plus, tu comprends ? C’est … c’est plus possible ! » Mais le fond de sa pensée n’était pas là et Layonee avait peur de lui dire, peur qu’il ne lui réponde par la négative, peur d’être de nouveau humiliée. Mais elle n’avait déjà plus beaucoup de dignité alors à quoi bon essayer de sauver le peu qu’il lui restait lorsqu’il pouvait y avoir le bout du tunnel à la clé ? Elle respira de nouveau, comme pour faire monter en elle le courage dont elle manquait, et se lança, cette fois en regardant ses mains, croisées sur genoux en train de se curer nerveusement les ongles. « Et je voudrais que tu arrêtes de me mentir et que me dise ce que tu ressens vraiment. Même si je dois souffrir à cause de ta réponse … » Elle s’était encore un peu plus livrée et espérait de tout son cœur que ce n’était pas vain et inutile, elle n’avait pas envie de vivre la même chose que quelques courtes minutes plus tôt.

Enfin, il lui annonça qu’ils iraient effectivement au bal ensemble. A cette annonce, Layonee lui adressa un sourire radieux.

{Désolée, c’est vachement long. Mais je t’avais prévenu ! DD}
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MessageSujet: Re: There was no feelings. Until now. {R.}   There was no feelings. Until now. {R.} I_icon_minitimeMar 30 Déc - 12:39

Aujourd’hui William venait déjà de passer un mauvais moment. C'était une des rare fois où des élèves l'avaient réellement déçu, pour lui chacun d'eux à un potentiel énorme et pourrait se surpasser s'il faisait quelques efforts. Il est passé par là à leur âge et se souvient combien il était arrogant avec ses professeurs, pour cela il veut éviter à ses jeunes de refaire les mêmes erreurs. C'est en voyant comment les élèves agissent vis-à-vis de lui qu'il se rend compte à quel point ce qu'il dit leur passe au-dessus comme ça lui passait au-dessus auparavant. Même si pour le moment il était avec Layonee, dans le sens bien entendu de passer du temps avec elle. William avait longtemps laisser passer sa chance avec Layonee en ne lui montrant pas réellement ce qu'il attendait d'elle. Durant la fin de leur scolarité ils n'avaient cessé de se chamailler mais surtout de se chercher afin de résister à leur attirance, William avait plusieurs fois essayer de faire craquer la belle qui n'était pas prête à le faire. Elle préférait le voir craquer en premier. Ce petit jeu était bon pour les lycéens mais aujourd'hui ils n'en sont plus à leur première année et William a bien envie de passer à la vitesse supérieur. Il veut toujours autant la faire craquer en premier seulement pour y arriver il va se rapprocher d'elle de façon déconcertante et mettre le trouble dans l'esprit de la jeune femme afin quelle admette ressentir quelque chose à son égard. Cela ne s'annonce pas vraiment facile ,mais William a toujours préféré les femmes avec un sens de la répartie et Layonee est parfaite de ce côté-là. Même si William faisait mine d'être un véritable tombeur il n'en était pas moins qu'il préférait les relations sérieuses, c'est sans doute pour cela qu'il n'a pas laissé tomber ce jeu peut être pour vivre avec Layonee une véritable histoire. Il se doute qu'elle éprouve de l'attirance pour lui ,mais savoir si cela va vers le côté des sentiments il n'arrive pas l'a cerner et cela l'exaspère. Et maintenant sans crie et gare et elle lui dit qu’elle est amoureuse de lui … Comment la croire, qui lui prouve que ce n'est pas un stratagème diabolique afin de lui briser le coeur. Layonee avait mal au coeur cela se voyait alors celle-ci essayait de son mieux de se venger pour se préserver mais c'était bien trop tard. William ne comprenait pas entièrement sa réaction, il aurait aimé qu'elle se mette deux minutes à sa place et elle n'aurait sans doute pas dis des choses aussi blessante. Sous la colère William lui répondit: « Et tu crois être meilleure que moi ? Durant 5 longues années tu n'as fait que jouer avec moi, me séduire pour mieux me blesser alors comment veux-tu que j'ai confiance en toi ... Du jour au lendemain tu décides que ce petit jeu doit cesser ,mais qui es-tu pour décréter ceci ? Tu as eu 5 ans pour me dire ce que tu ressentais et entre deux insultes tu me dis que tu es amoureuse de moi ... Qui me dit que ce n'est pas encore un plan pour mieux te jouer de moi ? »

William se demandait si elle allait finir par fondre en larme, il espère que non ,car lorsqu'elle le ferait il ne contrôlerait sans doute plus ses sentiments pour elle. La frontière entre la haine et l'amour est si mince qu'à ce moment précis William l'a déteste de ne pas lui avoir dit tout cela plus tôt et de ne pas lui ouvrir totalement son coeur mais l'aime parce qu'elle est elle-même, la femme dont il est tombé amoureux petit à petit. Bizarrement même s'ils sont en pleine dispute William n'a qu'une envie la prendre dans ses bras et l'embrasser puis la consoler ,mais ce n'était pas le moment. Layonee était à bout de nerf et William aussi, il ne savait plus ce qu'il faisait ni disait tellement ce moment était fort. William n'aurait jamais pensé qu'ils se mettraient dans cet état-là. Ce qui est vraiment dommage ,car tout le monde sait qu'ils sont faits l'un pour l'autre c'est écrit dans leur destin. Si seulement Layonee arrivait à se libérer de ses peurs, ce qui devrait aussi faire William. Et maintenant elle était en colère à cause de ce surnom qu'il lui donnait lorsqu'il était rancunier. Et elle lui en voulait aussi pour ça, d'ailleurs comme si c'était lui qui avait tous les tords. Cela l'exaspéra et il lui dit: « C'est toi qui a lancé ce jeu stupide afin de garder le peu de contrôle que tu avais sûr, si tu n'avais pas été aussi agressive nous n'en serions pas là aujourd'hui. J'ai le droit de t'appeler du nom que je veux tu n'es pas ma petite amie que je sache ? Et tu veux savoir pourquoi ,car tu n'aurais pas le cran de me le demander ... »

William ne savait vraiment plus ce qu'il se passait tout était confus. Puis il l'a vit commencer à pleurer et il faillit courir vers elle pour lui essuyer et lui demander de le pardonner ,mais sa colère était encore bien trop vive pour qu'il puisse faire quoi que se soit. La voir souffrir de la sorte n'était pas son but bien au contraire. Pourquoi tout n'est jamais simple pourquoi elle ne lui avait pas dis depuis si longtemps qu'elle voulait être avec lui et idem pour William; Leurs deux caractères étaient bien trop bornés. Comme s'ils se refusaient au bonheur ce qui est assez dramatique dans un sens. Puis plus les larmes de la jeune femme coulait plus il était perdu. Ensuite elle lui demanda énervé s'il jubilait de la voir comme ceci. Lui qui avait envie de prendre son d'elle rien que d'entendre ça l'énerva encore plus et il lui demanda: « Tu t'attendais quoi ? Qu'immédiatement je tombe entre tes griffes sans me méfier ... Tu me connais mieux que ça ,mais jamais je n'aurais dit ça si j'avais été sur de ta sincérité. Je ne voulais pas te faire de peine ... BORDEL comprends-moi ! »

Elle ne voulait pas comprendre son point de vue, heureusement les choses se calmèrent lorsqu'ils furent assis l'un à côté de l'autre. William se demandait vraiment ce qu'elle attendait de lui, qu'il devienne son petit ami officiel sans se cacher et qui lui dise la nature de ses sentiments, qu'il ne lui adresse plus jamais la parole ou quelqu'un avec qui elle a envie de s'envoyer en l'air. Vu comme ça on pourrait croire que William n'a rien compris sauf que c'est le contraire. Notre jeune homme à seulement peur de se l'avouer à lui-même. Comme si être ce qu'il est vraiment était une faute alors que ce n'est pas du tout le cas. « Qu'est-ce que tu veux ? Aller dis le ? Ce que toi tu veux de moi, au fond de toi dis le moi ... » Lui demanda-t-il ,mais sa réponse fut immédiate. Lui ouvrir son coeur était ce qu'elle attendait de lui, la pire chose qu'elle puisse lui demander. Celle qu'il n'arrive pas depuis ces 5 longues années, elle voudrait aujourd'hui qu'il lui dise exactement ce qu'il ressent à son égard. C'était trop dur William ne savait pas quoi lui dire ni commencer s'échapper de ce moment. Il priait pour que quelqu'un entre et l'empêche de se dévoiler au grand jour ,car une fois qu'il lui aura dit ce qu'il ressent il ne pourra pas revenir en arrière et leur relation changera à jamais. William n'est pas sur d'être prêt à cela. Même si en réalité il est vraiment amoureux d'elle. William ne savait vraiment plus quoi faire ,mais il se dit que c'était le moment. Il ne pensa à rien du tout, vida sa colère de son esprit. William se rapprocha doucement de Layonee qui était encore sur ses gardes il la regarda dans les yeux pour lui montrer que ce n'était pas un jeu. Lorsqu'elle se brusqua et leva les larmes il les pris et les baissa. Pour ensuite se rapprocher encore plus près des lèvres de la jeune femme, une main sur la cuisse et une autre sur son visage, enfin William déposa un baiser tendre et affectueux sur les lèvres de Layonee, pour le prolonger ,mais un baiser langoureux et passionné. William après ceci se recula et lui prit la main en disant: « Tu ne vas peut-être pas me croire ,mais je ne veux pas simplement te mettre dans mon lit, exprimer mes sentiments est quelque chose d'assez inhabituel pour moi alors tu risques de ne pas vraiment comprends. Durant 5 ans j'ai hésité ,car je pensais que ce n'était qu'un jeu pour toi alors qu'au fond pour moi ce n'était pas ça ... »

William avait trop peur pour lui dire la fin de sa phrase. Il se leva comme pour s'en aller comme s'il avait perdu la bataille. Il se retourna et la regarda pour ensuite lui dire : « Je ... T'aime, ça y est je l'ai dit. C'est sans doute trop tard ,mais au moins je l'aurais dit. »

[HJ: J'ai eu le temps de répondre finaleme,t désolé pour ce post médiocre ...]
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Layonee J. Fane
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MessageSujet: Re: There was no feelings. Until now. {R.}   There was no feelings. Until now. {R.} I_icon_minitimeMar 30 Déc - 20:51

« Et tu crois être meilleure que moi ? Durant 5 longues années tu n'as fait que jouer avec moi, me séduire pour mieux me blesser alors comment veux-tu que j'ai confiance en toi ... Du jour au lendemain tu décides que ce petit jeu doit cesser ,mais qui es-tu pour décréter ceci ? Tu as eu 5 ans pour me dire ce que tu ressentais et entre deux insultes tu me dis que tu es amoureuse de moi ... Qui me dit que ce n'est pas encore un plan pour mieux te jouer de moi ? » Il était énervé, et visiblement blessé par la précédente réplique de Layonee qui n’avait pu supporter d’être ainsi humiliée et également blessée par cet homme qu’elle aimait tellement et dont elle ne voulait rien d’autre que de l’amour. Le savoir en rogne contre elle et peut-être définitivement fâché avec elle lui retournait littéralement le cœur. Il semblait perdu et si c’était elle qui avait plus ou moins lancé ces hostilités, elle l’était tout autant que lui. La jeune femme ne savait plus qui ni quoi croire. Elle avait bien trop peur de faire une erreur, de croire ce qu’elle voulait croire alors que la réalité était tout autre, elle savait que les sentiments des gens les menaient très souvent à leur perte, lorsqu’ils ne faisaient plus assez confiance à leur cerveau, à leur réflexion pour les guider. Mais les personnes qui au contraire, n’écoutaient jamais leur cœur se retrouvaient souvent bien trop seules pour commencer à ressentir quoi que ce soit, ne fut-ce que de la haine car leur cœur, qui n’était plus qu’un muscle, n’avait jamais pu goûter à quelques sentiments sans importance et se trouvait glacé, fossilisé pour le reste de leur vie.
Layonee n’en revenait cependant pas. C’était comme si ce jeu n’avait commencé qu’à cause d’elle, comme si tout était totalement et entièrement sa faute. A croire que William n’avait jamais été que la pauvre victime manipulée depuis le début. Jamais elle n’avait voulu le séduire pour le blesser. Le jeu consistait simplement a essayé d’attirer l’autre dans son lit, le faire craquer car chacun savait qu’il y avait une indéniable attirance entre eux. La jeune femme n’arrivait pas à comprendre ce qui mettait autant William sur ses gardes, pourquoi ne voulait-il pas croire qu’elle puisse honnêtement et sincèrement éprouver des sentiments pour lui ? Sentiments si forts qu’elle savait être amoureuse de lui ? Non, elle n’arrivait décidément pas à comprendre. Si lui le lui avait dit, elle l’aurait probablement cru. C’était du moins ce que Layonee tentait de se persuader car au fond, elle savait qu’il y aurait eut de fortes chances qu’elle réagisse de la manière que lui …


« Mais attends ! On est deux dans l’histoire ! Si tu ne voulais pas jouer à ce jeu, stupide je te l’accorde, tu n’avais qu’à ne pas commencer ! Et JAMAIS, tu entends ? JAMAIS je n’ai cherché à te blesser d’une quelconque manière ! » Layonee reprit son souffle durant quelques fractions de secondes avant de reprendre, d’une voix plus calme, quoi que l’on pouvait sentir une pointe de déception. « Rien ! Absolument rien ne peut te prouver que c’est un plan diabolique fomenté pour te faire souffrir. Mais si tu n’est pas capable de voir lorsque je mens ou non, c’est qu’au fond, tu ne me connais pas si bien que ça … » Elle voulut ajouter quelque chose mais sa voix se brisa. Plus la conversation avançait et plus elle pensait que, finalement, elle s’était fourvoyée de croire qu’il pouvait l’aimer. Naïvement, elle avait pensé que les quelques paroles qu’il avait dit était un début, qu’il finirait par tout lui dire mais Layonee songeait à présent que la seule solution était de se résigner à aimer un homme qui ne ressentait rien pour elle. On disait que le temps effaçait tout, même les plus grandes peines mais la jeune femme doutait que même trois siècles puissent ne serait-ce qu’adoucir un peu la déchirure que cette éventualité provoquait en elle.

Layonee ne put que se révolter lorsqu’il la nomma « Tigresse ». Pour elle, c’était comme s’il ne la considérait que comme un jouet, à peine comme une personne capable d’avoir des sentiments, de penser. Elle lui annonça en criant, sa colère emplissant le ton de sa voix comme peut-être jamais elle ne l’avait fait auparavant. La réponse de William n’arrangea rien. Selon lui, s’ils ne sortaient pas ensemble, il avait le droit de la nommer comme il le voulait. Grave erreur que de penser ça car Layonee était ce que l’on pourrait nommer un esprit libre et l’impression d’appartenir à quelqu’un la faisait inévitablement fuir et rugir.
« QUOI ?! Non mais attends ! C’est justement parce qu’on est pas ensemble que tu n’a aucun droit de m’affubler de surnoms que je supporte pas ! Tu agit exactement comme si j’étais ton chien et que je n’avais rien à dire sur le sujet ! » La fin de sa phrase avait été prononcée un peu plus calmement, mais sur ton nettement plus excédé. Elle n’avait pas relevé le reste de sa phrase, souhaitant à tous prix éviter d’envenimer encore plus les choses qui n’étaient guère simples à gérer.

Dépitée, Layonee s’était ensuite rassise sur le canapé, presque en larmes, les yeux rouges et les joues rosies par la colère. Elle se crispa lorsqu’il lui annonça que jamais il n’avait voulu lui faire de la peine. Lorsqu’elle entendit ces quelques mots, la jeune femme eut envie de lui demander de répéter, pour être sûre qu’il l’avait bien dit et qu’il ne se fichait pas d’elle, mais elle ne le fit pas. Elle resta assise, la tête relevée pour le regarder, et attendit qu’il termine en lui demandant de le comprendre.
« Mais justement, je n’arrive pas à te comprendre ! Tu rejettes tout ce que je dis ! Comment veux-tu que je réagisse ? » A ces mots, elle tapa ses propres cuisses, comme pour insister sur son impuissance, son désarroi grandissant. Alors, elle lui demanda d’être honnête avec elle. Layonee avait besoin de savoir ce qu’il ressentait vraiment pour elle, quitte à souffrir pour le reste de ces jours, elle ne pouvait pas rester dans le doute et regretter tous les jours de sa vie de n’avoir pas osé lui demander, d’être peut-être passée à côté du bonheur sans l’attraper au vol, par manque de courage et par peur aussi. Car oui, celle qui se fichait de l’avis des autres, la jeune femme qui donnait toujours son avis, avec tact certes mais qui était toujours d’une franchise désarmante appréhendait ce que William allait lui dire, s’il le lui disait effectivement.

Alors, l’incroyable se produisit sans qu’elle ne s’en rende compte. Doucement, il s’approcha d’elle, son doux visage était de plus en plus proche, ses lèvres aussi s’approchaient dangereusement des siennes et Layonee savait qu’il fallait qu’il l’embrasse, sinon, elle n’aurait guère put résister à ses lèvres dont elle avait tant rêvé ces dernières années. Ce baiser vint doucement, d’abord doux et affectueux, puis langoureux et passionné. La jeune femme se laissa aller et se donna pleinement à se baiser qui la fit frissonner de bonheur. C’était comme la récompense de cinq années de non dits, de souffrance cachée et refoulée. Elle n’en revenait toujours pas lorsqu’il reprit sa place initiale, tout en lui tenant la main. Layonee l’écouta patiemment, elle buvait littéralement ses paroles. Cependant, son cœur fit un bond dans sa poitrine lorsqu’il se leva, comme pour s’en aller, lui annonçant au passage que, même s’il était trop tard, il lui avait enfin avoué qu’il l’aimait. Prise soudain par une peur panique qu’il ne disparaisse sur ces mots en la laissant seule, Layonee se leva brusquement et, presque suppliante, elle lui demanda :
« Ne t’en vas pas. Je t’en prie, reste … J’ai besoin de toi … » Comme si le fait qu’elle s’approche de lui allait le faire rester, elle le fit et se retrouva à quelques dizaines de centimètres lorsqu’elle lui souffla : « Je … Je t’aime … » Alors, comme lui l’avait fait quelques secondes plus tôt, elle se hissa légèrement sur la pointe des pieds pour l’embrasser avec tout l’amour dont elle était capable, elle n’avait pas envie de le perdre. Pas alors qu’elle venait tout juste de le trouver. Lorsqu’enfin elle se détacha à regret de ses lèvres, elle le regarda, l’interrogeant du regard sur la suite des évènements.

{Arf, désolée .. J’ai encore fait deux pages. Tu me pardonnes ? xD}
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MessageSujet: Re: There was no feelings. Until now. {R.}   There was no feelings. Until now. {R.} I_icon_minitimeMer 31 Déc - 0:51

Le métier de William était sans doute sa raison de vivre ,mais même si voir Layonee sans arrêt le remplit de joie et d'espérance enseigner quelque chose à ses élèves. Même si parfois Layonee se croyait le centre du monde il avait autre chose en tête parfois qu'elle. Surtout qu'en ce moment avec ces élèves ce n'est vraiment pas la joie bien au contraire. C'est regrettable à dire et ça l'énervait plus qu'autre chose, la maitrise des dons est très difficile surtout à l'adolescence car nos émotions sont multipliées et un accident est vite arrivé ,mais leur pouvoirs ne seront jamais aussi puissant que maintenant et ils sont en train de ficher en l'air leur avenir. William aimerait leur faire comprendre que ce don n'est pas si difficile à contrôler ,mais plus ils auront de mal à l'accepter ou simplement la flemmardise de s'entraîner plus ils mettront du temps, les jeunes sont si impatient. William ne savait plus quoi faire, il ne voulait pas se comporter comme certains professeurs et s'asseoir en attendant que leur passe et remercier le ciel qu'il n'y ait pas beaucoup de bruit dans son cours. Mais ce n'était pas son genre c'est pour ça qu'à l'heure d'avant il s'était montré assez ferme. S'il pensait à autre chose qu'à elle c'était en partie pour se calmer et surtout pour réfléchir à lui faire entendre qu'elle n'est pas le centre du monde ,car elle l'avait blessé à un tel point qu'il avait envie inconsciemment envie de lui faire ressentir ce qu'il ressent en ce moment. Persuadé qu'elle se fiche complètement de lui sûrement une des raisons qui font qu'il se montre à ce point-là cruel. Une façon bien à lui de se préserver en quelque sorte.

Les histoires d'amours passent toutes par des moments de crises allant même jusqu'au point où l'on perd espoir. Cette relation-là n'a même pas encore commencé qu'elle est déjà difficile c'est comme si l'univers se mettait contre eux alors que c'est le contraire, cela donne une relation assez explosive. William aimerait tellement que tout soit beaucoup plus simple malheureusement ce n'est pas encore le cas à son grand dame. Si seulement il arrivait pour une fois à se livrer naturellement sans pour autant déclencher une dispute comme celle-ci. Il savait pertinemment que cela allait le conduire vers l'amour mais rien que de penser que ça ne marcherait pas le bloque complètement. Puis le fait qu'elle soit si dure envers lui pendant une minute puis ensuite qu'elle lui dise qu'elle l'aime le met vraiment mal à l'aise, il ne comprenait pas ce qu'elle attendait de lui. Si elle voulait simplement se servir de lui comme beaucoup de femmes avant elle pour se venger de quelqu'un d'autre ou lui donner une bonne leçon ,mais le fait qu'elle puisse lui dire la vérité ne lui avait pas traversé l'esprit. Comment pouvait-il réellement la croire après tout elle n'avait pas tort il ne l'a connaissait pas vraiment, jamais ils n'avaient eu de discussion profonde alors c'était vrai. Mais à qui la faute c'était elle qui ne voulait pas en avoir plus occupé à jouer avec lui qu'autre chose à cause de sa réputation, elle pensait qu'elle pouvait faire ceci sans conséquence car il avait une réputation de tombeur sans se douter qu'il n'était pas comme ça .


« Tu n'as pas cherché à me blessé ? Pourquoi alors dès que l'on se voit tu t'amuses avec moi pour ensuite mieux t'acharner et après tu viens me dire que tu es amoureuse de moi. Je vais t'apprendre un truc Tigresse l'amour ne se fait pas en un jour et ce n'est pas parce que tu te réveilles un jour pensant l'être que tu l'es vraiment ... Mais en réalité peut être que tu es juste en train de jouer encore une fois ... » William était peut-être dure et méchant en lui disant ça ,ais il voulait qu'elle comprenne à quel point c'est difficile pour lui après cela de la croire, durant 5 ans elle a fait comme si elle le détestait puis l'adorait et maintenant elle lui dit l'aimer. Qui lui prouvera que c'est du réel que d'un moment à l'autre « Comment tu voudrais que je te connaielle ne va pas une fois de plus changer d'avis. sse vraiment ? A chaque fois que je t'ai invité tu m'as dit d'aller voir ailleurs ... Ne viens pas te plaindre dorénavant ... » Si William agissait comme ça c'était aussi d'une certaine façon pour lui montrer qu'il avait réellement été blessé par ces mots et ce qu'elle faisait depuis longtemps. Tout ce qu'il ressentait depuis si longtemps était en train de remonter à la surface et de faire sûrement des dégâts ,mais il avait besoin d'être honnête et de se vider une fois pour toute. Layonee pouvait penser que finalement il ne ressentait rien pour elle que ce n'était qu'un fantasme voué à l'échec ,mais si elle pensait réellement cela c'est qu'elle n'avait rien compris à tout ce qu'il venait de dire. William était vraiment amoureux d'elle comme il ne l'avait pas été depuis un très long moment. Seulement il avait une manière assez particulière de montrer son affection.
Si William l'appelait de la sorte c'était aussi pour lui faire comprendre comment elle agissait avec lui et même si cela l'exaspérait il ne comptait pas arrêter de si tôt. Ce n'est pas parce que Layonee exige quelque chose qu'elle l'aura pour qui se prend t-elle franchement au bout d'un moment William commence vraiment à se montrer à bout de nerf et se retient de plus en plus pour ne pas s'en aller en claquant la porte et ne plus jamais revenir. C'est vrai s'il veut en un claquement de doigt il en aura une autre mais c'est elle qu'il veut malheureusement même si c'est loin d'être gagné. « Je te traite comme une chienne ? Depuis 5 ans tu me fais attendre et languir pour pouvoir m'avoir sous ta coupe alors rien que pour ça j'ai le droit de t'affubler du moindre surnom dont j'ai envie ... Puis je fais ce que bon me semble ! »

Layonee allait sans doute le tuer sur place ,mais William venait de lui clouer le bec pour un bon moment, il avait raison sur ce point-là durant 5 ans il avait essayé de l'inviter à sortir et pas seulement pour la mettre dans ses draps comme les autres. Seulement elle n'écoutait que les rumeurs à son sujet et n'essayait même pas de lui donner une chance et de connaitre le vrai William. Si c'était le cas elle aurait découvert quelqu'un de beaucoup plus sérieux qui sait être fidèle comme un petit ami fidèle. Mais elle risquait de ne jamais le savoir si elle continuait dans cette voie, il voulait vraiment lui faire comprendre les choses sans se laisser faire de la sorte. Puis tout se mit à dériver quand enfin William laissa libre court à ses désirs et l'embrassant pour la première fois et contre toute attente Layonee se laissa faire comme si elle en rêvait depuis toujours ,mais pour William ce n'était pas assez il ne voulait partir dans ce genre de relation physique sans sentiment et pour lui elle n'était pas ce genre -là. William se leva alors et fit comme s'il allait sans aller et franchement il en avait envie. Mais finalement elle décida de prendre les choses en mains en lui criant de rester. Et tout ce que trouva à dire William fut : « Pourquoi ? » Puis quand elle se rapprocha de lui pour lui dire qu'elle l'aimait ce fut comme un électro-choque pour lui. Une révélation la chose qu'il attendait depuis si longtemps. William se laissa faire lorsqu'elle l'embrassa en prolongeant avec toute la fougue et l'ardeur dont il était capable. Pour ensuite lui prendre la main et s'asseoir avec elle sur le canapé tout en l'embrassant encore. Ensuite il lui demanda: « Tu vas penser que je suis vieux jeu ,mais autant qu'on soit d'accord les relations libérées ce n'est pas mon genre. Autant que tu sois au courant je ne veux te partager avec personne .. » Puis il lui fit son sourire charmeur et l'embrassa langoureusement ...
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MessageSujet: Re: There was no feelings. Until now. {R.}   There was no feelings. Until now. {R.} I_icon_minitimeSam 3 Jan - 17:42

La dispute n’en finissait plus. Chacun croyait que l’autre se jouait de lui, le manipulait effrontément et s’amusait sans vergogne avec ses sentiments. Plus la conversation avançait et plus les deux professeurs haussaient le ton, se mettaient en colère, criaient, hurlaient, étaient sur le point de se battre pour se calmer quelques secondes, désespérés, avant de reprendre de plus belle. C’était une scène de ménage digne des plus grands films dramatiques, sauf qu’ils ne formaient même pas un couple. Pas encore et peut-être n’en formeraient-ils jamais un. Layonee n’en pouvait plus d’être accusée à tord, elle était à bout de nerf et ne se rendait pas compte que c’était aussi le cas de William qui ne voulait pas se montrer aussi dur qu’il l’était à cet instant. Elle le laissa alors parler. Elle laissa William déverser son venin sans rien dire, interloquée mais calme. Blessée mais impassible. C’était décidé, elle ne laisserait plus rien transparaître désormais, elle ne voulait pas lui faire le plaisir de la voir s’énerver ou pleurer.
Lorsqu’il lui répondit plus durement qu’il ne l’avait jamais fait, mais elle comprit. A cet réplique, elle vit dans ses yeux qu’il ne mentait pas, qu’il avait mal, tout comme elle. C’est à cet instant et seulement à cet instant que Layonee comprit à quel point ils se ressemblaient. Jamais durant cinq ans elle n’avait ne serait-ce qu’imaginé que ses sentiments pouvaient être réciproques, mais elle venait de découvrir que c’était le cas. Elle comprit alors que tous les deux avaient réagi de la même manière, en ce cachant derrière ce jeu stupide de qui fera craquer l’autre en premier. Alors, lorsqu’ils avaient commencé à parler de l’amour qu’ils pouvaient se porter l’un à l’autre, ça avait péter pour la bonne et simple raison qu’ils étaient tous les deux aussi têtus l’un que l’autre et qu’aucun des deux ne voulaient croire qu’il était possible que l’autre l’aime.
Seulement, la jeune resta murée dans son silence, bien trop male à cause de ce que lui disait William. Ainsi, il lui ressortait qu’elle n’avait jamais accepté aucune invitation de sa part. Mais comment les accepter alors que le jeu n’était pas de se faire des dîners romantiques mais juste de draguer l’autre ? S’il avait voulu rompre ce jeu et vraiment essayer de la connaître, il aurait dû le lui dire. Comme si Layonee avait le don de deviner ce que voulait les gens !
« Parce que j’étais censée deviner que tu voulais m’inviter pour rompre ce jeu et apprendre à me connaître ? Tout ce que tu ne m’as jamais dit a été que tu voulais dîner avec moi alors que nous n’étions censés que flirter pendant des soirées ! » Elle n’attendait pas de réponse de sa part, c’était inutile car cette question était plus rhétorique qu’autre chose.

Layonee vint se rassoire sur le canapé, presque en larmes et dépitée. A bout de nerf, à bout de souffle, et peut-être même au bout du rouleau. Il lu cloua le bec, où du moins, elle le lui laissa croire. Si elle avait encore une multitude d’arguments, la jeune femme n’avait pas envie de les avancer pour se fâcher encore plus avec le seule homme qu’elle aimait.
Il y eut un blanc, on entendait plus aucun bruit dans la pièce, la tension semblait être redescendue considérablement et ce fut ce moment là que choisis William pour l’embrasser. Layonee avait attendu ce moment depuis si longtemps qu’elle n’en revenait pas. Quoi que cela ne l’empêcha pas de répondre à ce baiser mais elle paniqua lorsqu’elle le vit commencer à partir, pensant qu’il allait quitter la pièce pour ne plus jamais revenir. La jeune femme se fit tout un tas de films en quelques centièmes de seconde et lui cria de rester, elle avait besoin de lui et ne se voyait pas vivre sans lui alors qu’ils venaient tout juste de se s’avouer qu’ils s’aimaient.

William se laissa faire et prolongea à son tour le baiser qu’elle lui donna avant de l’emmener avec lui sur le canapé, ses mains dans les siennes, en l’embrassant encore une fois, comme pour sceller définitivement cet aveu tacite. Ce qu’il lui annonça la fit rire. Layonee ne s’attendait absolument pas à ça.
« Mince. Et moi qui comptais te présenter mes amants … » La jeune enseignante rit encore un peu et tira la langue à l’homme qu’elle pouvait désormais considérer comme son petit ami. Elle jeta un œil à sa montre, il était déjà midi. Malicieuse, elle demanda : « On va manger en ville ? » Alors, guillerette, elle l’entraîna hors de la pièce pour l’emmener dans le petit bar du village voisin qui préparait de temps à autres de merveilleux petits plats.

Sujet terminé.
A moins que tu ne vois quelque chose à ajouter … ^^
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MessageSujet: Re: There was no feelings. Until now. {R.}   There was no feelings. Until now. {R.} I_icon_minitimeDim 4 Jan - 20:14

Rien n'a rajouté c'était parfait 010 002
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MessageSujet: Re: There was no feelings. Until now. {R.}   There was no feelings. Until now. {R.} I_icon_minitime

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